Une
première question se pose à cet égard: «Parce que cette méthode est si peu connu?»
En
fait, il était la première question que j'ai exprimée à mon ami Lorenzo après
avoir pris connaissance du chemin!
Je
n'avais jamais entendu parler avant de Roger Vittoz et de sa méthode, ni par an
docteur ni d'avoir lu sur ceci de quelque part.
Et
pourtant, à mesure que je lisais la brochure G. Laurent-Kaeppelin, page après
page, j'ai réalisé qu'il ne pouvait pas qu’ être juste ma impression: la
méthode a en elle l'idée et la nécessité de travailler pour être valide, pour
résoudre nombreux problèmes et surtout pas d'outils technique, ésotérique ou
lié à la philosophie et surtout, tout à fait naturel, en utilisant seulement ce
qui est déjà en nous, seulement avec nos talents et capacités. Mais la réponse
à la question - un écho le livre de G. Laurent-Kaeppelin - réside dans les mots
du Dr François Ledoux:
«Si la méthode Vittoz s'est
difficilement répandue, c'est que par ses prolongements même dans la vie du
sujet, elle exige une expérience sincère
et longue de la part de celui qui désire la transmettre; expérience qui
s’acquiert auprès des praticiens, mais surtout par la réceptivité avec laquelle
nous accueillons chaque instant de notre vie quotidienne…. En effet,
l'efficacité de cette méthode, qui tend essentiellement l'unification de la
personne, est conditionnée par sa parfaite simplicité».[1]
C'est
seulement après avoir commencé la pratique de la méthode que nous sommes
conscients de cette réalité. C'est seulement après que nous avons commencé avec
les exercices et après élimination de l'automatisme qui afflige la vie moderne,
on devient réelle, en vue de sa simplicité et efficacité, mais aussi avec la
nécessité de travailler sur notre propre personne: si nous voulons obtenir
quelque chose, nous avons à travailler et à nous appliquer avec constance,
intensité et sincérité; l’inconstance ou la présomption que quelque chose ou
quelqu'un peut agir en notre nom, irrémédiablement nous conduit à l'échec!
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